Attaque russe massive contre Kiev : 472 projectiles tirés
Dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 juin 2025, Kiev a été la cible d’une attaque russe sans précédent, impliquant plus de 440 drones et 32 missiles. Cette offensive, qualifiée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky de ‘l’une des pires attaques’ russes, a fait au moins 16 morts, dont un Américain, et de nombreux blessés, selon les derniers bilans.
Contexte de l’attaque
L’attaque russe sur Kiev est considérée comme l’une des plus meurtrières depuis le début du conflit. Les frappes ont ciblé 27 sites dans différents districts, incluant des immeubles résidentiels, des établissements éducatifs et des infrastructures critiques. Le ministre ukrainien de l’Intérieur, Ihor Klymenko, a déclaré que le nombre de victimes pourrait s’alourdir, les secouristes étant descendus sur les lieux de l’effondrement d’un immeuble d’habitation pour rechercher des corps ensevelis sous les décombres.
Bilan humain et matériel
Le bilan humain est lourd, avec au moins 16 morts et plus de 60 blessés, selon les autorités ukrainiennes. Un citoyen américain de 62 ans figure parmi les victimes, ayant perdu la vie dans le district de Solomianski. Trente appartements ont été détruits dans un seul immeuble résidentiel.
Réactions internationales
Cette attaque intervient alors que le sommet du G7 se tient au Canada, où la guerre en Ukraine est discutée parallèlement aux tensions entre Israël et l’Iran. Le président Zelensky a vivement condamné cette agression, soulignant la nécessité d’un soutien accru pour l’Ukraine face à ces attaques répétées. La Russie continue de mener une guerre intensive contre les civils ukrainiens, suscitant des condamnations internationales.
Impact sur les pourparlers
Les pourparlers entre l’Ukraine et la Russie sont dans l’impasse, et cette attaque souligne la gravité du conflit. L’Ukraine appelle à un renforcement du soutien international pour faire face à ces agressions. Le chef de cabinet du président ukrainien, Andriï Iermak, a dénoncé ces attaques comme une poursuite de la guerre contre les civils.